Un étiquetage minutieux
Jean Hermann citait ses sources de manière précise par souci de traçabilité des figures. L’étiquetage des pièces du cabinet ainsi que de celles du jardin était systématique. Il suivait la nomenclature linnéenne composée de deux mots en latin : le nom du genre « principal », puis un nom « trivial » spécifique au spécimen. Cette règle mettait fin à l’ancien usage de phrases descriptives plus ou moins longues.
Des outils bien choisis
Pour travailler, Jean Hermann se servait d’outils de précision, comme le microscope, les scalpels et pinces en tout genre, des pinceaux, des limes, etc. Evidemment, les livres demeuraient ses outils principaux.
retour à l'étage